Une sieste sur la balancelle

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Balancez-vous sous la lune, bercez-vous sous le soleil… Les balancelles rythmeront bientôt vos journées et vos soirées… comme quand vous étiez enfant.

Le bercement rassure l’être humain. Depuis les bras de leur mère, les hommes ne se sont jamais lassés de ce mouvement répétitif d’avant en arrière. Ils n’ont cessé d’inventer des objets qui l’imitaient. Les plus jeunes se disputent leurs places sur les balançoires, quand les adultes s’installent confortablement dans des rocking-chairs ou dans des balancelles. Ces sièges sont ainsi très courants sur les porches des maisons américaines. Ce n’est cependant pas le seul endroit où ils peuvent trouver leur place : ils s’acclimatent sans difficulté à nos terrasses.

Les pieds sur terre ?

Les balancelles oscillent naturellement sur leur axe. Souvent, un petit auvent protège les utilisateurs de la pluie ou des rayons du soleil. Le nombre de places assises est variable, favorisant souvent la convivialité du canapé à la solitude du fauteuil. Il existe cependant quelques rares modèles monoplaces qui permettent de choisir le rythme de son balancement et de prendre ses aises. Ceux-ci sont souvent de forme ronde, adoptant les lignes rassurantes du cocon. Encombrement oblige, la plupart des sièges accueillent cependant de deux à trois invités. Le confort est une donnée importante de ces fauteuils, dont les formes, les matériaux et les accessoires sont choisis pour vous assurer un maximum de bien-être.

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Composition

Les modèles de balancelle en plastique sont économiques, mais aussi plus fragiles. Il faut veiller à les protéger des intempéries et particulièrement du gel hivernal. L’apparence des sièges en bois est plus traditionnelle et leur entretien est facilité par les traitements modernes. Quant aux gammes en fer forgé, elles s’avèrent assez romantiques… tant que la rouille ne les abîme pas.

Le hamac autoportant

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Pas facile de fixer un drap entre deux arbres sur une terrasse… d’où l’intérêt des hamacs autoportants ! Beaucoup plus pratiques de leurs traditionnels cousins nomades, ils envahissent les espaces extérieurs. Les hamacs les plus courants sont suspendus à des poteaux, mais quelques modèles arrondis tiennent sans appui en se posant à même le sol. Surtout, ces dernières années ont vu apparaître pléthore de hamacs insolites, très éloignés de la couchette traditionnelle. C’est le cas des structures dites « surf » et « cocon » qui bénéficient d’une forme circulaire à l’aspect futuriste. Tel un nid, elles s’accrochent au plafond du patio ou se suspendent à un arbre. L’utilisateur se sent à l’abri des regards et coupé du monde. Des voiles et des ombrages complètent ce produit d’évasion. Pour les enfants, le hamac autoportant se transforme en véritable cachette dans laquelle les têtes blondes peuvent jouer ou faire la sieste en toute sécurité.